Avec l’écrivain Bernoussi Saltani et le traducteur  Abdelhak  Bouazza

 

Toute activité traduisante trouve sa légitimité dans cette transition interlinguale qui nécessite un choix méthodologique bien précis. Si la traduction est une reproduction d’un ouvrage dans une autre langue différente avec tout ce que cela suppose d’enjeu culturel, avec les œuvres autobiographiques « Eloge de la tuberculose » et « Fragments… d’enfance » traduites respectivement en arabe par شذرات‭ ‬من‭ ‬الطفولة‭ ‬et‭ ‬ومن‭ ‬السموم‭ ‬الناقعات‭ ‬دواء il n’y a pas lieu de traduction-adaptation. Car, étant écrites en français par un écrivain de culture arabe, les dites traductions ne sont finalement que leur restitution dans leur culture d’origine.