Dans le cadre de Demain Dès Aujourd’hui 2025
En partenariat avec l’AESVT
« Forêt primAIre » sera suivi d’une rencontre débat animé » par Malika Ihrachen et Saloua El Yakoubi
« Forêt PrimAIre » est une œuvre cinématographique immersive hybride créée par Denis Semionov et Louis Cacciuttolo, mêlant art audiovisuel, musique et technologies de pointe. L’œuvre non narrative explore l’intersection entre nature et technologie à travers le prisme de l’intelligence artificielle (IA). Celle-ci a produit les images à partir des propositions de Denis Semionov, tandis que Louis Cacciuttolo illustre la diffusion du film en accompagnant en live les images par de la musique générée par des algorithmes, à la manière des musiciens à l’époque des films muets.
Dans « Forêt PrimAIre », les artistes questionnent l’impact de la colonisation humaine sur la nature, tout en utilisant l’IA non seulement comme outil créatif, mais aussi comme force de proposition. L’IA, ici, nous invite à partager son idée d’une nature idéale où hommes, machines organiques, faune et flore cohabiteraient en harmonie. Cette collaboration entre l’humain et la machine permet de créer une expérience où le spectateur se trouve plongé dans une forêt onirique, à la fois sublime et inquiétante. À travers des visuels générés par IA et une composition musicale immersive, l’œuvre nous invite à réfléchir sur le rapport entre écologie et technologie, et sur l’avenir de notre planète face à la progression inéluctable de la civilisation.
Au-delà de sa projection physique, une version virtuelle en trois dimensions existe dans le métavers, permettant aux spectateurs du monde entier d’interagir avec l’environnement virtuel. Ce projet hybride est ainsi conçu pour toucher un large public, offrant une expérience sensorielle sans frontières. En proposant une réflexion profonde sur les enjeux environnementaux, « Forêt PrimAIre » ouvre un dialogue sur la coexistence possible entre progrès technologique et préservation de l’écologie, tout en exploitant les capacités de l’IA pour repousser les limites de la création artistique.
En partenariat avec la Fondation BMCI et L’Economiste