Dans le cadre de sa résidence à l’Institut français de Casablanca, Louiza réalise une sculpture en terre crue, reflet du patrimoine architectural vernaculaire marocain. Elle nous invite, pour sa sortie de résidence, à célébrer cette œuvre collaborative co-construite avec un groupe de jeunes étudiants et un groupe de femmes, en écho à la journée Féminisme 4.0.
Réalisée en terre-paille, l’œuvre Altar pour la Terre est une matière vivante, à la croisée de la sculpture, de l’architecture et du paysage, qui interroge la bétonnisation de la ville et nous invite à reconnecter à un geste écologique ancestral, reflet du lien entre l’humain et la Terre nourricière.