Réalisé par Ken Scott et porté par Leïla Bekhti, Jonathan Cohen et Joséphine Japy, ce long-métrage est une adaptation du roman autobiographique de Roland Perez. L’histoire débute en 1963, avec la naissance de Roland, dernier enfant d’une famille juive d’origine marocaine, atteint d’un pied-bot qui l’empêche de marcher. Contre tous les pronostics, sa mère Esther promet à son fils qu’il marchera et mènera une vie extraordinaire. Refusant les appareillages médicaux, elle mise sur des miracles, une foi inébranlable et l’amour inconditionnel qui unit une mère à son enfant. Le film, à la fois drôle et bouleversant, dépeint l’intimité d’une famille et d’une culture marocaine juive sépharade, entre traditions, musique (notamment Sylvie Vartan) et un message fort sur le courage maternel. Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan est une ode lumineuse à l’amour, à la persévérance et aux miracles du quotidien.