Rencontre avec Romane Bohringer à l’issue de la projection.

« Ce dont le film porte témoignage, ce n’est pas tant de la rupture que du refus de la tristesse et de la fatalité qui y sont attachées, comme de la désintégration d’une famille qu’on a construite dans l’amour. Il y a là, par les temps qui courent, une tendresse et une fidélité qui mettent en joie.

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C’est une utopie de notre temps, que celle de ce couple qui, se défaisant solidairement, continuerait de se construire. » Jacques Mandelbaum, Le Monde

 

Découvrez aussi le théâtre de récit : Mon pays, Ma peau, d’après Country of my Skull d’Antjie Krog, avec Romane Bohringer et Diouc Koma