Mêlant sculptures et peintures, cet ensemble de travaux récents interpelle sur les notions de résilience et de transmission; sommes-nous dorénavant face à un monde en déliquescence ? La réalité telle que nous la pratiquons sera-t-elle encore envisageable ? Le monde du vivant, humain ou végétal peut-il encore être résilient ?

À travers un langage plastique très personnel, Monia Abdelali avec des sculptures criantes dans le silence de leurs postures et Malika Demnati qui célèbre avec ses peintures les espèces végétales endémiques, il y a là un véritable plaidoyer pour éveiller les consciences sur un monde en constante métamorphose et pour mettre aussi dans la lumière l’espoir d’un futur chahuté et incertain…